PARTENAIRE | Douwe Egberts

Au cœur de la tribu : les Plus mamans, héroïnes des familles recomposées

En Flandre, l’expression Plus mamas désigne désormais les belles-mères et reflète bien leur rôle auprès des enfants : une maman en plus. Etre une Plus maman implique un réel travail d'équilibriste pour garantir la cohésion de sa nouvelle tribu. Alors pour la fête des mères, célébrons aussi celles qui consacrent leur vie à ces enfants qu’elles n’ont pas portés. Témoignages de Plus mamans, héroïnes de leurs tribus recomposées.

Donner sans attendre en retour, avoir l’impression d’en offrir trop, de ne pas recevoir assez, garder une certaine distance tout en se montrant aimante… Le rôle d’une Plus maman n’est pas toujours simple. D’un côté, on attend d’elle qu’elle assume un rôle maternel et de l’autre, qu’elle ne prenne surtout pas la place de la maman biologique.

« La mère de mes beaux-enfants a eu des soucis personnels et mon mari a obtenu leur garde », explique Agnès, 49 ans. « J'ai eu beaucoup de mal à trouver ma place dans cette famille recomposée. En fait, j’avais surtout peur que les enfants en veuillent à leur maman. Qu’ils pensent qu’elle les avait abandonnés. Je leur ai toujours répété que leur maman les aimait très fort. Aujourd’hui, ils me disent encore combien ils en sont reconnaissants. »

Composer pour sa famille recomposée

« Mon conjoint avait la garde de ses deux garçons quand on a emménagé ensemble et j’étais moi-même déjà maman », raconte Nadia, 37 ans. « Nos enfants se sont toujours entendus comme s’ils étaient des frères, mais le souci pour nous, a été l’organisation de la vie quotidienne. » Quand on est Plus maman, au-delà d’apprivoiser les enfants, il faut aussi composer avec les règles de son conjoint. Et sur ce point, comme souvent, la communication est la clef. « Le plus important pour nous, c’était de préserver les enfants. On réglait nos désaccords en privé. Et je pense qu’on a vraiment réussi notre pari : même si on s’est séparés depuis, nos garçons sont toujours très proches, et je considère ses fils comme mes propres enfants. »

Devenir maman, sans y être préparée

Quand on y pense, rien ne nous prépare vraiment à devenir Plus maman. Pas de grossesse durant laquelle se projeter, pas de visite en amoureux dans les magasins de puériculture, pas de temps partagé pour se faire à l’idée de devenir parents ensemble.

« Du jour au lendemain, je suis devenue mère de famille », raconte Mathilde, 34 ans. « J’étais encore très jeune quand j’ai emménagé avec mon compagnon, je ne pensais pas encore forcément aux enfants. Mais l’homme que j’aimais venait avec sa petite. » Entre les cris, les corvées et les disputes, beaucoup d’amour. « Elle m’a tout de suite adoptée. J’ai eu énormément de chance avec ma princesse. Depuis, elle a un petit frère qu’elle aime de tout son cœur. Et moi, au fond de moi, je sais que je lui dois tout. C'est elle qui m'a appris à devenir une maman. »

 

Comme vous, Douwe Egberts rend hommage aux Plus mamans aujourd’hui. Ces mamans en plus, ces belles-mères qui sont si importantes.