Ici pas question de collection, mais de concept. En effet, "DELAKTIG" n'est pas un meuble, mais une "plateforme ultra-modulaire" prenant comme point de départ, comme unité, une assise proche du traditionnel canapé de salon. Une unité qui pourra être développée avec des accoudoirs des dossiers, des lampes et des tables que l'on fixera dessus.
Un meuble mutant qui répond à la flexibilité de plus en plus grande des intérieurs et notamment du salon, un lieu où l'on dîne, discute, travaille, médite et dort.
Inspiré du Ikea hacking
Pour sa gamme d'accessoires, Tom Dixon s'est inspiré du Ikea hacking, à savoir le détournement des meubles de la grande enseigne . Il a fait appel à 75 étudiants en design à travers le monde qui ont proposé leurs idées d'accessoires pour "DELAKTIG".
En plus des accessoires proposés par Ikea, BEMZ, spécialisé dans la confection de textiles d'ameublements pour les meubles de la marque suédoise, a conçu des housses adaptées à la plateforme.
Les unités de basses existent en trois formats : un trois places (243€), deux places (211€) et une place (185€). Ces dernières peuvent donc être agrémentées d'une table d'appoint (59€), d'un lampadaire (79€) d'un dossier (54€) ou encore d'un accoudoir (50€).
En attendant son arrivée dans nos rayons le 7 février, vous pouvez dores et déjà décourvrir le fameux canapé à la Delaktig Gallery, située dans l'ancienne boutique Marc Jacobs, au 90 de la rue Antoine Dansaert. La galerie est ouverte jusqu'au 31 janvier prochain.
