Comment adopter le nesting dans son jardin ?

Rester dans son petit nid douillet, se reconnecter avec soi, à l’abri des regards, loin des autres… La tendance trouve aujourd’hui son prolongement dans nos espaces extérieurs. On vous explique !

Par Sigrid Descamps avec Agnès Zamboni . Photos D.R. sauf mentions, ouverture: Dedon |

Les confinements successifs ont fait de nos jardins et terrasses de nouveaux espaces de vie à part entière. L’espace extérieur est devenu le prolongement évident de notre intérieur : on y mange, on y reçoit ses amis, sa famille, on y joue, voire on y travaille… et dans la même veine, on s’y repose, on y déconnecte également. Le nesting répond à un besoin de se reconnecter à soi, à l’envie de se réfugier dans son « petit nid douillet ». Parce qu’on a envie de lire au calme, de rêvasser, de faire la sieste, voire de ne rien faire du tout… Si la tendance semble évidente en hiver (elle fait d'ailleurs de nombreux adeptes depuis plusieurs années), où l’on se met à l’abri du froid, elle séduit aussi de plus en plus de monde quand il fait beau.

La vidéo du jour :

Mots d'ordre: régression, confort… et jubilation !

Et pour ce faire, eh bien, c’est simple : on adopte les mêmes principes qu'à l'intérieur… mais en plein air. Les fauteuils se transforment ainsi en refuges et en cachettes secrètes, où on peut se rouler en boule, sans contrainte, à l’abri des regards.

On craquera tantôt pour une balançoire nacelle suspendue...

...tantôt pour une hutte ou tente confortablement aménagée, et qui nous replongera aussi en enfance…

L’un et l’autre, on les choisit pour une petite retraite en solitaire, pour un moment de déconnexion ou pour une simple pause aux heures les plus chaudes. Un peu régressif et égoïste certes, mais tellement jubilatoire !

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