Trois chefs stars à suivre de près selon la nutritionniste Pascale Naessens

Faut-il encore présenter la papesse de la nutrition Pascale Naessens ? Vraie star au nord du pays, elle est devenue une référence de la cuisine saine. Et quand elle ne réalise pas ses propres recettes, elle puisse son inspiration auprès d’autres chefs internationaux.  

PAR Redaction. PHOTOS : D.R. |

Nobuyuki Matshuhisa

Il est sans nul doute le nom le plus célèbre au monde associé à la cuisine japonaise haut de gamme et innovante. Ce chef japonais de 70 ans est devenu une icône dans le monde de la gastronomie pour ses plats traditionnels japonais d’influence péruvienne. L’une de ses recettes emblématiques? La morue marinée dans une sauce yuzu den miso et rôtie au four.  Pour Pascale Naessens, c’est définitivement LE chef à suivre : « Je suis fan du chef japonais Nobu.Aujourd’hui, on trouve de plus en plus de chefs qui prônent la nourriture saine et qui travaillent les légumes, mais il a été l’un des premiers à le faire. Ses recettes ne sont pas faciles, c’est de la haute voltige. Ses mélanges de saveurs sont complexes, mais le résultat est toujours prodigieux ! »

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Yottam Ottolenghi

Ce chef anglo-israélien est devenu une véritable star ces dernières années : il multiplie les livres de cuisine et sur Instagram, il cumule plus de 2 millions d’abonnés. Ses recettes phares ? Le baba ganoush aux courgettes, les endives caramélisées au jambon serrano, la salade de carottes épicées et pour les becs sucrés le krantz cake au chocolat, célèbre brioche de la tradition juive ou encore la fameuse tarte à la ricotta. C’est simple, Pascale Naessens en est tout simplement fan même si elle admet que ses recettes demandent du temps, « le résultat est toujours délicieux ». 

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Seppe Nobels

Plus près de chez nous, Pascale Naessens s’inspire de la cuisine du chef Seppe Nobels, qui en 2010 ouvrait le Graanmarkt 13 à Anvers, son restaurant dans lequel les légumes jouent un rôle principal, une cuisine aussi avec du respect pour les saveurs naturelles, les produits régionaux et la durabilité. « Je vais peu au restaurant, faute de temps, mais j’aime aller dans cet établissement qui a reçu une étoile verte Michelin l’an passé », nous explique Pascale Naessens. « Et j’ai très envie d’aller découvrir ce qu’il fait chez Instroom, à Anvers également, où il travaille avec une brigade multiculturelle composée de réfugiés, qui puisent dans leurs racines pour proposer avec lui des plats avec des saveurs et ingrédients de leur pays d’origine ». 

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