Plus de 100 pendules mystérieuses signées Cartier aux enchères

La maison de vente aux enchères Christie’s organise le 1er juillet prochain une vente aux enchères de 101 pendules mystérieuses de Cartier, datant de plus de 80 ans. Une vente à ne pas rater, et à admirer.

Par Mathilde Trocellier. Photos : © Cartier // Christie's. |

Le 1er juillet prochain, l’hôtel Four Seasons des Bergues à Genève accueillera la célèbre maison de vente aux enchères Christie’s pour une vente exceptionnelle : 101 pendules signées Cartier. Ces pendules sont de véritables pièces de collection, s’étalant sur plus de 80 ans.

Une vente exceptionnelle

En 1973, la Maison Cartier obtenait sur le marché de l’art l’une des horloges créées par Louis Cartier et Maurice Coüet. De cette acquisition est née la Collection Cartier, héritage de la maison. De nombreux modèles font partie de la collection de 1600 pièces (bijoux, montres, pendules, objets) de la maison, dont 101 sont aujourd’hui mises en vente aux enchères par Christie’s. 
Ces 101 modèles, pièces de collection datant parfois de plus de 80 ans, seront d’abord exposés du 27 au 30 juin au Four Seasons de Genève dans une exposition ouverte au public, avant la vente aux enchères le 1er juillet. Les visiteurs pourront découvrir ces modèles datant du début du 20ème siècle jusqu’aux années 1980 lors d’une exposition, « opportunité d’une vie » comme le dit la Maison Christie’s. 

Les horloges que les visiteurs/acheteurs pourront découvrir à ces enchères des modèles uniques, tels que ceux-ci :

Une histoire mêlant joaillerie, horlogerie et magie

Au début du 20è siècle, le joaillier de renom Louis Cartier s’associe à l’horloger de la Maison Maurice Coüet pour créer, en 1912 le premier modèle des Mystery Clocks. Ces horloges constituent un tour de force technique et esthétique dans l’histoire de la Maison Cartier et celle des arts décoratifs, elles ont fait de Cartier le premier fabricant d’objets joailliers. 
Qualifiées de « miracles de l’horlogerie » par la Gazette du Bon Temps en 1925, ces horloges-bijoux ont quelque chose de magique : Maurice Coüet s’est inspiré des recherches de l’illusionniste Jean-Eugène Robert-Houdin surnommé le « père de la magie moderne ». 
De cette alliance de magie et de travail d’horlogerie naîtront de nombreux modèles différents dont la production n’a jamais cessé depuis 1912, avec pour point commun leur mécanisme, caché dans le cadre. Quand l’illusion devient bijou.

Tous les détails de la vente aux enchères sont ici.

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