Les adresses fétiches de Pierre De Maere pour chiner du seconde main

En l’espace de quelques chansons, le jeune Brabançon s’est imposé comme l’une des révélations de la scène francophone, séduisant la Belgique et le tout- Paris. Mais derrière cette machine à tubes, Pierre De Maere est avant tout un passionné de mode. Son passe-temps ? Chiner ! Découvrez tous ses conseils. 

Par Sigrid Descamps. PHOTOS : VICTOR LABORDE, GABRIELLE RIOUAH, PIERRE DE MAERE |

Ses adresses et sites fétiches 

J’aime la mode, mais je n’ai pas toujours le budget adapté. Je n’ai pas les moyens de m’acheter un pantalon Gucci neuf à 800 €, alors je me tourne vers la seconde main. Je suis un grand utilisateur de Vinted et de Vestiaire Collective. J’aime aussi acheter en direct, mais les fripes connaissent un tel succès depuis quelques années que dans certaines boutiques spécialisées, certaines pièces sont, selon moi, vendues bien au-dessus de leur valeur réelle.

Un bon plan, ce sont les brocantes et les vide-dressing de particuliers, car les vendeurs n’essaient pas de se faire une marge bénéficiaire. À Louvain-la-Neuve, j’aime bien le kot-à-projet Kotextile. À Paris, je vous conseille la boutique de fripes Thanx God I’m a V.I.P., dans le 10e arrondissement (12 rue de Lancry). J’y ai trouvé pas mal de fringues que j’ai portées dans les clips.

La vidéo du jour :

Ses conseils 

Si vous faites des achats en seconde main, n’ayez jamais de vêtements précis en tête : c’est le meilleur moyen d’être déçu ! Il faut se laisser porter et croire en sa chance. Il faut fouiller, essayer... C’est comme cela que l’on peut tomber sur des pépites. Il faut aussi un peu s’informer sur les prix en amont. Acheter un jean 501 à 40, 50 € en seconde main, ce n’est par exemple, pas ce que j’appelle faire une affaire. Pour les pièces de luxe, on peut se faire une idée des prix de base sur des sites comme Farfetch et Ssense.

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