Cinq habitudes à adopter pour lutter contre le blues de janvier

Quand décembre s'achève, la tête n’est plus trop à la fête ! Chez certains, cela se traduit carrément par une grosse vague de blues qui les submerge. Heureusement, on peut la combattre facilement.

Par Sigrid Descamps. Photo Unsplash. |

Vous l’aurez déjà constaté : le mois de janvier se révèle souvent maussade. Il se peut que l’on se sente plus fatigué, un peu triste aussi, anxieux, démotivé, plus faible également (et donc plus enclins à s’enrhumer)… Les causes sont multiples. Tout d’abord, cela fait plusieurs semaines que l’on « subit » l’heure d’hiver, qui implique une exposition plus courte au soleil, ce qui peut mener à un manque, voire à une carence en Vitamine D, qui joue un rôle essentiel au niveau du renforcement du système immunitaire et de notre santé musculaire et mentale…

Mais aussi, on est en pleine « gueule de bois émotionnelle » : on sort de plusieurs semaines d’ambiance festive ; la ville était illuminée, les gens sortaient dans les rues pour se balader, on a passé du temps avec sa famille, ses amis… Et là, brusquement, le rythme « normal » reprend ; on se rend compte qu’on a encore quelques semaines à tirer avant la fin de l’hiver, on a retiré la déco des fêtes, on voit moins ses proches, on retourne bosser… Soit, on déprime un peu.  Heureusement, il existe quelques réflexes simples à adopter.

On fait le plein de lumière

On l’a dit plus haut, l’une des principales sources de cet état de faiblesse, c’est une carence en Vitamine D. L’une des meilleures façons de la produire est de s’exposer au soleil. Si on en a l’occasion, on peut partir en vacances quelques jours. Si ce n’est pas possible, on  se procure sa « dose » de lumière autrement : soit par des balades quotidiennes, de 20 à 30 minutes en plein air et en plein jour. Au besoin, on investit dans une lampe adaptée.

On booste son assiette

On peut également renforcer sa production de Vitamine D via l’alimentation. Parmi les aliments riches en Vitamine D, on notera les poissons gras (saumon, hareng, maquereau, thon…) et le jaune d’œuf. On ajoute aussi dans ses assiettes des oméga-3, nécessaires au bon fonctionnement du cerveau, que l’on trouve également dans les poissons gras, mais aussi dans les huiles végétales et de poisson, les noix, l’avocat…

On bouge

On ne le répétera jamais assez : bouger, c’est bon pour la santé, pour le corps et pour la tête. On se trouve donc une activité physique, de préférence en extérieur, qui va stimuler le flux sanguin et oxygéner notre organisme.

On lâche prise

On fait le vide, on chasse les idées noires en pratiquant une discipline douce comme le yoga ou le tai-chi, ou on s’adonne à la méditation.

On se chouchoute

On s’offre des moments positifs, des soirées entre amis, en amoureux, on se plonge dans un bon livre, on regarde une série, on écoute de la musique… bref, on se fait du bien !

Que faire en cas de crise sévère ?

Si les symptômes persistent, consultez votre médecin généraliste qui verra avec vous s’il y a lieu de suivre un traitement adapté.

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