L’activité cérébrale, pourtant indispensable, néfaste pour l’être humain ? Un constat inquiétant quand on sait que notre cerveau dicte toutes nos actions comme voir, entendre, sentir. Rajoutez à cela le rythme de vie accéléré par notre mode ultra-connecté, mauvais combo !
Les résultats, avancés par l’université américaine n’ont pas rassuré la revue scientifique Nature, qui a demandé des recherches plus poussées. Mais force est de constater, après deux années de travail supplémentaire, que les conclusions d’Harvard se confirment.
Un vieillissement précoce
Les recherches ont donc été effectuées par la Harvard Medical School par des chercheurs ayant étudié des souris, mais aussi les corps et les cerveaux de personnes mortes entre 60 et 100 ans. A en croire les résultats, plus l’activité neuronale est élevée, plus le corps vieillit vite et réduit alors l’espérance de vie.
Cette étude n’est pourtant pas un cas isolé. Ces conclusions sont appuyées par d’autres études scientifiques, prouvant notamment que la méditation est bénéfique dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer, puisqu’elle permet de mettre le cerveau en pause. Dans une plus large mesure alors, toute activité permettant de se reposer et de mettre les neurones en veille permettrait de vivre plus longtemps, ou du moins, de repousser le moment fatidique.
En conclusion, pas de panique si vous avez souvent la tête encombrée, mais n’oubliez pas de vous accorder des petites pauses pour faire le vide, pour à terme profiter de la vie à fond. Ça vous fera au moins une bonne excuse en plus pour vous déconnecter !
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