1. Quand on le porte, on évite de s’asseoir n’importe où
Un accroc est vite arrivé. Pour le prévenir, on évite le contact direct avec les surfaces rugueuses comme les pierres, les fauteuils en rotin… Et on prévoit toujours un essuie entre notre séant et l’endroit où on le pose.
2. On le rince toujours après usage
Après avoir passé plusieurs heures dans l’eau, que ce soit dans la mer salée ou dans une piscine chlorée, on rince son maillot à l’eau claire et froide. Cela va permettre d'en retirer les microparticules indésirables : sable, crème solaire, sel, chlore… On évite l’eau chaude qui risque de faire chauffer les fibres et modifier l’élasticité.
3. On le lave en douceur
L’idéal, c’est de le laver à la main, dans de l’eau tiède ou froide, avec du savon naturel (de Marseille par exemple) ou du liquide de lessive pour linge délicat et de le rincer illico. En machine, on utilise un filet de lavage, et on opte pour un programme pour linge délicat, sans assouplissant (qui risque de boucher les fibres) et avec essorage minimal.
4. On le sèche avec précaution
Ne jamais le mettre au sèche-linge, la chaleur l’abimerait à jamais. Si on l’a lavé à la main, on ne le tord surtout pas pour l’essorer : on le presse délicatement pour faire sortir l’eau. On le place ensuite à plat, à l’ombre. On évite le séchage au soleil qui risque de détériorer l’élasticité des fibres et d'altérer les couleurs.
5. On alterne
Pour éviter qu’il ne s’élargisse au fil des usages, on ne porte pas le même maillot tous les jours. Les fibres ont besoin de 24 heures pour être bien sèches et reprendre leur place. On prévoit donc au moins deux modèles dans sa valise (ou le même si on a trouvé LE maillot parfait, qui à l’acheter dans deux tons différents).
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